Un projet inspirant

Inspirer la vie

Inspirer la vie

Depuis le temps qu’ils s’observent, se croisent et s’influencent, art et design vont bientôt se faire face à Metz.

En 2015, en face du Centre Pompidou-Metz, ouvrira Muse. Dédié à l’équipement de la maison et de la personne, à l’alimentation, aux loisirs et à la culture, ce centre d’inspiration de 37 000 m2 GLA incarne le renouveau du quartier de l’Amphithéâtre où se trouvent déjà la Gare TGV, le Centre Pompidou-Metz, le palais omnisport « Les Arènes » et le Parc de la Seille.

Conçu par l’architecte Jean-Paul Viguier, ce lieu ouvert au meilleur de la mode, du design et du fooding, s’adresse aux publics messin, lorrain, luxembourgeois et allemand.

Sa créativité architecturale sera un formidable écrin pour accueillir les 90 boutiques, 10 moyennes surfaces et 10 restaurants attendus.

Muse à vocation à inspirer la vie. Sa complémentarité avec le Centre Pompidou-Metz dotera la ville d’un pôle de créativité plurielle unique en Europe.

Muse préfigure le commerce de demain : résolument beau, farouchement innovant, délibérément tourné vers le bien-être des visiteurs.

De nombreuses attentions seront réservées à ceux qui viendront chaque année : conciergerie, nouvelles technologies, espace design, services exclusifs… L’homme n’a jamais autant crée qu’en ce siècle. Le Centre Pompidou-Metz en est le témoin pour l’art contemporain. Muse en sera le réceptacle pour le design, la mode et la culture.

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Les chiffres clés

Les chiffres clés

Espace de commerce et de loisirs

  • > 37 000 m² GLA de commerces et de loisirs
    - 110 unités dont :
    • 90 boutiques;
    • 10 Moyennes Surfaces;
    • 10 restaurants;
  • > 1ère implantation de Carrefour Market sur Metz de près de 6 000 m² GLA.
  • > Parking (750 places)

Zone de chalandise

  • > Population de la zone de chalandise : 383 000 habitants en 2010 à 30 min
  • > Fort pouvoir d’achat : revenu moyen median supérieur à 19 150€
  • > Jeune : 30% de la population ayant entre 20 et 39 ans
  • > CSP+ : environ 25% de la population - surreprésentation par rapport à la moyenne nationale
  • > Forte attractivité : fréquentation hors zone supérieure à 20%

Calendrier

  • > CDAC obtenue en mai 2010
  • > PC déposée en décembre 2010
  • > Ouverture prévue pour le 1er semestre 2015
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L'architecte

L'architecte

L’agence Jean-Paul Viguier S.A d’Architecture, fondée en 1992, est une agence internationalement reconnue. Jean-Paul Viguier et ses associés s’attachent à proposer des réflexions de fond qui vont au-delà du projet lui-même. En particulier, en matière de maîtrise de la relation entre les bâtiments et l’environnement, et de l’utilisation de technologies de pointe (structures, matériaux nouveaux, respect de l’environnement).
La notoriété de l’agence est fondée sur des projets issus de cette démarche : le Parc André Citroën, les tours de Coeur Défense, les logements de la Porte d'Asnières et de Bercy, le Ministère des Sports et la Caisse d'Allocations Familiales (Paris Seine Rive Gauche îlot M7), les centre commerciaux « Carré Sénart » et « Lyon Confluence ».

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Trois minutes pour vous inspirer

La vidéo de présentation

Implantée au cœur de la capitale de la Lorraine, Muse incarne le renouveau d’un quartier, la dynamique d’une ville, l’esprit d’ouverture d’une région à ses voisins frontaliers. Découvrez la vidéo de présentation.

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Merchandising

Implantée face au Centre Pompidou-Metz et au cœur du renouveau du quartier de l’amphithéâtre, Muse offre un écrin architectural unique pour les marques avant-gardistes et innovantes.
Muse sera l’épicentre de la vie commerciale de ce quartier doté de 1500 logements et de 50 000m2 de bureaux.
Le rayonnement régional et transfrontalier de Muse influencera naturellement sa commercialisation.

Muse a pour vocation de réunir les enseignes qui promeuvent et défendent l’Esprit de Création. Mode, food et design forment le socle de son identité commerciale.

Avec une telle situation géographique, Muse s’adresse aussi bien aux consommateurs messins qu’aux clients régionaux, mais aussi européens en provenance d’Allemagne et du Benelux.

C’est dans cet environnement incomparable que Muse bénéficiera d’un potentiel de 383 000 habitants à moins de 30 minutes.
Une population jeune (30% ont entre 20 et 39 ans) et au fort pouvoir d’achat (revenu médian supérieur à la moyenne nationale).

Muse sera facilement reliée aux grandes métropoles voisines, puisque la gare TGV qui accueille chaque année 6,8 millions de visiteurs n’est distante que d’une centaine de mètres.
Ainsi, les parisiens pourront-ils venir concilier visite du CPM et shopping en 82 minutes.

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Quatres muses inspirantes

Twiggy

Twiggy

Ce n'est pas un nom qui a rendu internationalement célèbre le premier mannequin, c'est un surnom.
Si Lesley Hornby est officiellement née en 1949, Twiggy s'est révélée en 1965. Avec la fraîcheur de ses 16 ans et la fragilité de ses 41 kilos.

Twiggy (brindille en anglais) est remarquée dans un salon de coiffure par Nigel Daves. Très vite, elle devient l'égérie de grands couturiers comme Mary Quant, célèbre pour ses mini-jupes. Son allure androgyne et sa silhouette filiforme donnent à Twiggy une personnalité à part, en rupture avec les codes de la mode de l'époque. Les magazines ornent leurs couvertures de ses excentricités et de son charme. Elle est l'une des figures de proue du Swinging London et son influence dépasse très vite les podiums des maisons de couture.

Après seulement quatre années de défilés et de prises de vues, elle finit par se lasser de ne "servir que de cintre" et elle quitte le mannequinat pour entamer une carrière artistique dans la musique et le cinéma. En 1972, elle reçoit deux Golden Globe pour son rôle dans la comédie musicale The Boy Friend de Sandy Wilson filmée par Ken Russell.

Aujourd'hui encore, son style incomparable marque son influence, pas seulement sur les créateurs de mode mais aussi sur les artistes. De David Bowie dont elle a fait la couverture de l'album de reprises Pin Ups, à Laurent Voulzy en passant par le groupe pop japonais Pizzicato Five, Twiggy continue d'inspirer.

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Grace Jones

Grace Jones

Où a commencé la vie de Grace Jones ? A Spanish Town, en Jamaïque, en 1948, si l'on en croit sa biographie. Pour d'autres, son histoire commence à New York, à la fin des années 70, sous les lumières électriques du Studio 54 et sous l'objectif d'Andy Warhol qui ne cesse de la photographier. Et comment oublier qu'elle s'est révélée à Paris, dans les nuits du Palace et plus encore dans l'imagination protéiforme de Jean-Paul Goude qui est attiré par "la puissance de l'image qu'elle projette" ?

Grace Jones est une muse résolument contemporaine. Sa vie est marquée par l'art et les créateurs. Intime de Keith Haring et de Robert Mapplethorpe, elle ne s'est jamais limitée à être une icône, une image figée sur papier glacé. Elle a enregistré plus d'une dizaine d'albums et son interprétation de La vie en rose reste aussi émouvante que la version originale d'Edith Piaf. Elle s'est laissée diriger par une quinzaine de réalisateurs et incarne, dans la mémoire collective, l'un des adversaires les plus mythiques de James Bond dans A view to a kill.

Ses 179 centimètres, son allure robotique, sa voix rauque et chaleureuse, sa crête inimitable ont façonné une image singulière et ont fasciné des générations et des générations depuis maintenant 40 ans. Prémonition ou sens aigu de sa personne, Grace Jones enregistre son troisième album en 1979. Son titre ? Muse

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Pina Bausch

Pina Bausch

Ne croyez pas les biographies, méfiez-vous des écrits. Pina Bausch n'est pas qu'une chorégraphe, elle est bien plus que cela. Pina Bausch n'est pas qu'une artiste inspirée, elle est allée bien au-delà de cela. Pina Bausch est à la fois une référence et une désobéissance.

C'est un fait, Pina Bausch a marqué les esprits et influencé un grand nombre de créateurs chorégraphes, metteurs en scène, créateurs de mode…) et elle y est parvenue parce qu'elle ne s'interdisait aucun excès.

Ainsi, n'a-t-elle pas hésité à faire voler en éclats les codes de la danse contemporaine. Ses scénographies, organisées sous forme de saynètes spectaculaires et le plus souvent accompagnées de musiques du monde, trouvent leurs singulières émotions dans une part invisible au regard du spectateur. Elle crée, en effet, en fonction de ses danseurs, de leur anatomie mais aussi de leur histoire personnelle, de leurs fêlures.

Chercher dans la technique ne peut apporter qu'une partie d'explications au talent de Pina Bausch. Bien sûr, il y a 'ces rondes à la Pina Bausch', ces grands mouvements de bras, ces bustes si souples et ces cheveux relâchés mais il y a autre chose : l'émotion du spectateur, son abandon.

Wim Wenders, ami si proche et admirateur si convaincu de Pina Bausch, a cherché pendant des années à retranscrire l'émotion de ses chorégraphies. Il n'en a trouvé la clef que tardivement, quelques mois avant la mort de Pina Bausch en 2009 : "Pour capter la qualité contagieuse et existentielle de la danse de Pina, il ne fallait pas seulement filmer la scène, mais tenter d'incarner l'émotion qui étreint chaque spectateur."

Connue pour son intense travail, Pina Bausch confiait à propos d'un de ses derniers spectacles : "Le résultat est magnifique mais la pièce n'est jamais finie." C'est vrai dans l'art… et dans la vie. Pour ces phrases-là aussi, Pina Bausch est une muse d'aujourd'hui et pour les générations à venir.

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Yoko Ono

Yoko Ono

Yoko Ono c'est avant tout une image. Allongée sur le sol, à ses côtés John Lennon, nu en position fœtale. Sous l'objectif d'Annie Leibovitz, ce couple mythique montre sa complicité, sa fragilité et son équilibre. Quelques heures plus tard, tout cela volera en éclats sous les cinq balles de Mark David Chapman.

Yoko Ono n'est pas qu'une muse pour le plus célèbre des Beatles, elle est une artiste expérimentale protéiforme : musicienne, compositrice, interprète, écrivain, comédienne, plasticienne et cinéaste. Yoko Ono est plurielle.

Née à Tokyo, elle a 12 ans lorsque son pays est victime des attaques nucléaires. A la fin de la guerre, elle suit ses parents qui émigrent aux Etats-Unis. Très tôt, elle s’intéresse à la littérature d’avant-garde et au mouvement Beat Generation. Elle se marie deux fois : avec Toshi Ichiyanagi, compositeur et pianiste japonais, puis avec le jazzman Anthony Cox.

En 1965, elle marque les esprits avec sa performance Cut Piece. Assise sur la scène de Carnegie Hall, elle invite les spectateurs à venir découper ses vêtements pour finir nue. Elle réitère cette performance dans d'autres théâtres de New York, Tokyo et Londres. La scène artistique l'adoube. Elle côtoie alors Keith Haring, Merce Cunningham, Andy Warhol, Peggy Guggenheim…

Elle rencontre John Lennon à Londres en 1966 mais leur relation ne débutera réellement qu'en mai 1968. La légende veut, en effet, qu'ils enregistrèrent leur premier album de musique expérimentale, la nuit même où ils consommèrent leur relation. Le titre de l'album n'est pas anodin : Two virgins.

Si son influence a pu sembler être parasite pour les Beatles, elle est incroyablement positive pour la carrière personnelle de John Lennon. Elle lui inspire ses plus belles compositions : Imagine, Jealous Guy, Woman… et Give peace a chance. Cette chanson marque l'engagement des deux artistes pour la paix dans le monde avec comme points d'orgue leurs deux Bed-in à Amsterdam et Montréal.

Artiste à part entière, Yoko Ono est reconnue aujourd'hui pour son œuvre plastique, musicale et cinématographique. Ses compositions ont influencé les musiques de Nina Hagen et Björk et la liste des artistes avec qui elle a collaboré est éloquente : Frank Zappa, Eric Clapton, Tricky, Lenny Kravitz, Craig Armstrong…

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Un artiste inspiré

Mickaël Molinié

Michaël Molinié

Mickaël Molinié, artiste peintre dont le travail se développe sous la forme d’une figuration libre, aime mixer les influences. « En fait, j’aime m’inspirer des modes d’expression des jeunes enfants. Cette démarche me permet d’envisager la « représentation » sous un angle beaucoup plus libre et ouvert, et non assujettie aux contingences académiques de la pratique de la peinture visant à prouver une capacité technique à reproduire le réel. »

Le recours systématique à l’écriture sous forme de graffitis, au dessin vif et énergique et au collage qui déstructure et enrichit la composition d’ensemble, ne vise pas à donner une explication, mais à (re)produire l’expérience d’histoires intrinsèques, multiples et mêlées. Le travail de Mikaël Molinié échappe à toute tentative de lecture unique émanant du conscient. Elle invite à de multiples regards,sensibles et personnels. Son style émeut et devient immédiatement reconnaissable.








































Infos

Informations pratiques

Informations pratiques

Pour tout contact commercial pour MUSE,
retrouvez tous les programmes APSYS sur www.apsysgroup.com
Email : agoillandeau@apsysgroup.com, yfourel@apsysgroup.com
Tél : +33 (0)1 41 05 67 67